Célébrités

Le recadrage sec de Benjamin Castaldi à Line Renaud (95 ans) : « Je trouve ça

Je découvre ce matin que Line Renaud, pour qui j’ai au demeurant beaucoup de respect, dit des horreurs sur ma grand-mère et je commence à être sérieusement lassé par toutes ces personnes qui attaquent ceux qui ne sont plus là. Et principalement quand ce sont des artistes qui, dans leur vie, ont fait en sorte que le monde aille mieux, ont consacré du temps pour les autres, ont offert du bonheur et, à défaut de bonheur, ont proposé un talent qui a été parfois et souvent partagé et apprécié.

Donc foutez la paix à tous ceux qui ne sont plus là. Foutez la paix à Johnny, foutez la paix à ma grand-mère, foutez la paix à tous ceux qui n’ont plus la chance de pouvoir se défendre !

Mise au courant de la réaction de Castaldi, Line Renaud avait fait savoir son embarras. C’est du moins ce qu’avait affirmé l’ancien animateur de « Secret Story » sur TPMP, lui qui en avait tout de même gros sur la patate :

Je n’ai pas compris cette attaque gratuite. On s’est croisés au téléphone, je sais qu’elle est embêtée et ne voulait pas dire du mal. Mais moi franchement, ça m’a vraiment blessé. C’était ma grand-mère, et je n’aime pas qu’on dise que ma grand-mère buvait du pastis avec un croissant à 10 heures du matin. Je trouve ça blessant et humiliant.

Dans les artistes qui ont jalonné le siècle dernier, c’est une des femmes qui a fait le plus pour les autres, qui a fait des beaux films, donc ça m’a fait chier. Je n’en veux pas à Line, parce que voilà, mais ça m’a vraiment fait de la peine. Je vous le dis franchement, ça m’a peiné. Parce que j’ai mes enfants, c’est ma grand-mère… J’ai pas envie qu’on dise du mal d’elle.

Très attaché à sa grand-mère et plus largement à sa famille, Benjamin Castaldi n’a pas laissé passer « l’attaque gratuite » de Line Renaud envers Simone Signoret. Les mots sont sûrement dépassé la pensée de la meneuse de revue, qui s’est trouvé bien embêtée. Mais « Benji », lui, semble bel et bien avoir du mal à laisser l’eau couler sous les ponts. Et on peut le comprendre…

 

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