“Elle joue la comédie” : cet hommage honteux de Laeticia à Johnny Hallyday qui ne passe pas, David en colère annonce qu’il va…

L’autobiographie de David Hallyday porte le titre de Meilleur Album et est publié aux Éditions Cherche Midi. Le chanteur raconte qu’à 57 ans, il s’était laissé tenter par l’éditeur Jean Le Gall, car il avait “L’impression que l’on ne le connaissait pas”. David Hallyday ajoute “Je voulais raconter la manière dont je me suis construit avec des parents comme les miens, dans une famille comme la mienne. Comment on m’a donné ce don pour la musique et comment cet art m’a sauvé plusieurs fois”. En décembre, cela fera déjà cinq ans que son père, Johnny Hallyday nous a quittés. Il avait rejoint à l’âge de 74 ans, les anges du rock suite à une longue maladie. Dans son livre autobiographique, David Hallyday raconte le dur moment qu’il avait passé à la mort de son père. Il avait évoqué ce difficile moment par une simple phrase “On m’a volé sa mort”. Ces quelques mots dans son livre signifient qu’il avait eu un mal-être à cette période. Ce mal-être il a voulu que les lecteurs de son livre le sachent.

DAVID HALLYDAY A PASSÉ UN TERRIBLE MOMENT

Car souvenez-vous qu’après le décès de la légende Johnny Hallyday, les histoires d’héritage ont fait surface déclenchant une énorme guerre familiale. Ce conflit avait éclaté entre le clan de Laeticia Hallyday et les enfants de Johnny Hallyday avec David Hallyday et Laura Smet.

David Hallyday était revenu sur ce terrible moment qu’il avait vécu “Forcément, quand on aime ses parents et qu’il y en a un qui part, c’est quelque chose de violent”. Il ajoute qu’il avait fait le choix de ne pas parler de cette guerre d’héritage. “Chez nous, on a tous été élevés dans la création, dans la créativité. Moi, c’est mon expérience personnelle pour avancer, j’ai toujours fonctionné comme ça depuis tout petit” avait raconté David Hallyday. Dans son livre, David Hallyday s’en prend une nouvelle fois à Laeticia Hallyday. À la page 237 de Meilleur album, il écrit “Quelle anomalie, quelle aberration, quelle folie que de voir la mort de son père devenir un spectacle entre deux coupures publicitaires. Rien, pas même l’hommage qu’ils prétendent relayer, ne parvient à cacher l’obscénité du procédé”.