Célébrités
“Ce n’était pas mon type d’homme” : Mimie Mathy en larmes, elle fait des révélations sur Benoist Gérard et annonce qu’ils ont…
GALA: Pour trouver un amoureux, cependant, ça ne se passait pas comme pour les autres…
M. M.: A l’adolescence, ce n’était pas évident. C’est un âge qui n’est pas fait pour encaisser la différence. Alors que moi, je rêvais de me faire rouler des pelles au cinéma. Par la suite, ça n’a pas été plus simple. Je me suis mise dans des situations sentimentales qui étaient des impasses. L’homme marié, par exemple. Enfin j’ai évité l’écueil du harcèlement. Même si je me souviens de ce producteur qui m’a dit, une fois: «Ça me plairait une aventure avec quelqu’un comme toi.» Je ne suis pas la belle poupée Barbie qu’on a envie de courtiser tous les quatre matins, mais je peux être un fantasme pour certains.
Bref, à la quarantaine, j’étais célibataire et j’en étais à un point de renoncement. Comme je suis optimiste et positive, ça ne me rendait pas si malheureuse. Je considérais que j’avais le succès professionnel et qu’on ne peut pas tout avoir… Et ça n’était pas forcément une question de taille quand je voyais le nombre de mes amies qui n’avaient pas de mecs lorsque…
GALA: … En 2003, vous avez rencontré votre futur mari Benoist !
M. M.: Oui, je jouais un one woman show, co-écrit avec Muriel Robin, j’en étais à la 160e représentation. quand je l’ai fait monter sur scène. Il était maladroit et il y a eu comme un courant électrique entre nous. Il ne correspondait pas à mon type d’homme, il était fringué comme l’as de pique, mais quelque chose de facile et de simple est passée. Trois semaines plus tard, il m’appelait «chérie». Encore aujourd’hui on s’appelle « chéri » ou « mon amour ». On se tient la main, on s’embrasse. Quand on s’interpelle par nos prénoms « Benoist » et « Mimie », c’est que ça chauffe…
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